Œuvre de Théâtre de M*** Frontispice C-H de FUSÉE de VOISENON Chez DUCHESNE 1753

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Classement Audrey

"Œuvre de Théâtre de M***"

Frontispice concernant

Claude-Henry de Fusée de Voisenon

de l'académie française

Abbé de l'Abbaye Royale du Jard

Claude-Henri de Fusée, comte de Voisenon , abbé du Jard (dit aussi l'abbé de Voisenon) né au château de Voiseno n près de Melun le 8 juillet 1708 où il est mort le 22 novembre 1775 , est un homme de lettres français .

Une anecdote fréquemment citée concernant l'abbé de Voisenon est que « de santé délicate mais doué d'une vive intelligence, il n'était âgé que de 11 ans lorsqu'il adressa une épître en vers à Voltaire qui l'en remercia et lui prédit une carrière poétique. Ce fut le début d'une amitié qui dura jusqu'à la mort de Voisenon sans jamais se démentir. » Si l'amitié épistolaire entre les deux hommes est indéniable (Voltaire le surnommait « le cher ami Greluchon »), le fait signalé est probablement faux et dû à l'imagination [réf. nécessaire] de sa première biographe, son amie Constance de Lowendal , comtesse Turpin de Crissé. Elle commet aussi l'erreur [réf. nécessaire] de le faire naitre dans la propriété familiale de Voisenon, alors qu'il est « baptisé né d'hier » à Paris.

Issu d'une grande famille, Voisenon eut une jeunesse mondaine, s'intéressant au théâtre et fréquentant des gens de lettres dans le salon, Madame Doublet , où il connut Crébillon fils , Charles Pinot Duclos , Charles-Simon Favart et sa femme, Justine . Mme Doublet qu'il appelait affectueusement sa « marraine » ne l'était ni au sens religieux, ni au sens de l'état civil. 

En qualité de cadet, sa famille le destinait à l'état ecclésiastique, auquel il se résigna, dit-on (sans doute encore une légende) , après un duel au cours duquel il avait grièvement blessé son adversaire. Il fut ordonné prêtre en 1739 et devint grand-vicaire du diocèse de Boulogne , dont l'évêque était alors son oncle, Mgr Henriot. L'évêque le chargea de rédiger ses mandements, dans lesquels Voisenon introduisait, paraît-il, plus d'épigrammes que de pensées édifiantes. Il se fit aimer de ses diocésains qui, à la mort de l'évêque en 1741 , demandèrent qu'il lui succédât. Voisenon se précipita à Versailles pour demander qu'on ne le nommât pas : « Comment veulent-ils, dit-il au cardinal de Fleury , que je les conduise, lorsque j'ai tant de peine à me conduire moi-même ? » Il eut gain de cause et obtint cependant l' abbaye du Jard , à proximité de Melun, et dont il se borna d'ailleurs à toucher les revenus, préférant s'occuper de théâtre.

Très répandu dans la société des lettres, il fut l'un des principaux membres de la Société du bout du banc de Mlle Quinault et fréquenta les salons de Mmes Geoffrin et d'Épinay . On le voyait également beaucoup chez le duc de La Vallière dans son château de Montrouge , si bien que Voltaire l'appelait plaisamment « Monseigneur de Montrouge ». Grand amateur de bon vin, de bonne chère et de galanterie, on le disait amant de Madame Favart. Il écrivait des romans et des contes libertins, rimait des poésies légères ou à sujets bibliques, et composa des comédies en vers dont plusieurs eurent du succès et un opéra ( L'Amour et Psyché , 1760 ).

Il refusa le poste diplomatique que lui offrit le duc de Choiseul mais accepta une pension de 6 000 livres pour composer des Essais historiques à l'usage des petits-fils de Louis XV . Il fut présenté à Madame de Pompadour , auprès de qui il ne tarda pas à être en grande faveur, et usa de son influence pour aider des hommes de lettres dans le besoin.

Grâce à la protection de Voltaire , il fut élu à l' Académie française le 4 décembre 1762 en remplacement de Crébillon père . En 1771 , le duc d'Aiguillon le fit nommer ministre plénipotentiaire du prince-évêque de Spire . Mais, sa santé s'altérant, il se retira en septembre 1775 à Voisenon pour, disait-il, se trouver de plain-pied avec la sépulture de ses ancêtres. En effet, c'est là qu'il mourut le 22 novembre. Voltaire composa pour lui une aimable épitaphe :

Ici gît, ou plutôt frétille, Voisenon, frère de Chaulieu. À sa muse vive et gentille Je ne prétends point dire adieu. Référence WIKIPEDIA

Ex-libris gravé armorié de

M. le Baron de la Roche Lacretelle

SOMMAIRE

-Les Mariages Assortis

-La Coquette Fixée

-Le Réveil de Thalie

-L'École du Monde

-Le Retour de l'Ombre de Molière

Couverture veau havane d'époque

Dos lisse orné

Bandeaux et culs de lampe

de l'Imprimerie de Ballard

seul imprimeur du Roi pour la Musique

A Paris

Chez DUCHESNE Libraire

rue St. Jacques au-dessous de la Fontaine St. Benoît, au Temple du Goût

M. DCC. LIII

(1753)

  • Condition: Ouvrage d'occasion complet, sans marques ni déchirures, feuillets très légèrement jaunis, couverture avec usure normale du temps, très bel exemplaire (voir photos)
  • Lieu de publication: Paris
  • Caractéristiques spéciales: Édition de luxe
  • Époque: XVIIIème
  • Sujet: Philosophie
  • Reliure: Cuir, Relié
  • Date de publication: M. DCC. LIII (1753)
  • Nom de publication: CHARLES IX ou L'ÉCOLE des ROIS
  • Nom: Chez DUCHESNE
  • Format: 100 X 170 mm IN-12
  • Poids: 306 grammes
  • Nombre de pages: 383 pages livre complet
  • Langue: Français

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