AFFICHE MOTOBECANE MOBYLETTE MOB BLEUE 1970 seventies flower power psychédélic

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Mobylette

Historique

La Mobylette  (contraction de mobile et de bicyclette) est à l'origine un modèle et une marque déposée de cyclomoteur  de chez Motobécane (devenu MBK après sa faillite en 1983).

L'invention, en 1949 , de la Mobylette revient à Éric Jaulmes , directeur technique depuis 1941 , et Charles Bodin  fondateur et dirigeant de Motobécane . Déjà quelques années avant, l'ingénieur Marcel Morel de chez Monet-Goyon  avait fait une étude sur un cyclomoteur de 49 cm3  qui ne sera pas retenu par sa direction. Le premier modèle sera vendu sous l'appellation « Mobylette AV 3  »1 , il est devenu, avec le VéloSoleX , un deux-roues populaire en France  des années 1960  aux années 1990 .

Dans les années 1970 , le modèle le plus courant est l'AV 88 , appelé couramment la « bleue »2 , que les jeunes aimaient modifier pour avoir de meilleures performances (cylindre C52, culasse de AV 89 chaudron, carburateur  Dell Orto 15 mm  voire plus, pot de détente, petit guidon, garde-boue en aluminium, etc.). Pendant un temps, Motobécane est le plus gros producteur de deux-roues  motorisés au monde grâce à ce modèle. Ses surnoms sont multiples, tels que « brêle », « meule », etc.3  et surtout « mob ». Le nom « Mobylette » est apparu dès le premier modèle, dit « AV 3  » qui désigne aussi le type de son moteur. Elle a ensuite évolué avec le moteur AV 7  qui abandonne le piston à déflecteur pour un balayage Schnürle à deux transferts et adopte un cylindre en alliage léger revêtu de chromé dur, conçu sous la direction d'Éric Jaulmes .

À la fin des années 1970 apparaît le moteur plus moderne du 51v  l'AV10 à admission par clapets, conçu par l'ingénieur Jean Bidalot, qui évite le retour du mélange vers le carburateur et augmente la pression de transfert.

Motorisation Une véritable mobylette Motobécane

Le moteur deux-temps  de 49,9 cm3  était avec l'AV 3 , directement dérivé de celui du Poney AG2  (cyclomoteur à deux vitesses créé par réduction de la cylindrée, de 63  à 49,9  cm 3  de la BMA Poney AG1  créée en 1938).

Deux modèles (Motobécane 99Z et 95TT) sont équipés d'un dispositif de contre piston agissant comme un compresseur. Ce moteur, bénéficiant d'un couple très élevé, pour la cylindrée, est utilisé par des fabricants de voiturettes sans permis.

Transmission

Au départ, le moteur était en prise directe sur la courroie de transmission.

En 1951 , apparait un embrayage centrifuge permettant de conserver le moteur en fonctionnement mème à l'arrêt (et donc aussi de disposer d'un éclairage la nuit à l'arrêt).

Vers le milieu des années 1950, apparait l'embrayage double-effet « dimoby » permettant de redémarrer sans pédaler après un arrêt moteur en marche.

Absent des premiers modèles, le variateur de vitesse  Mobymatic, fonctionnant grâce à des billes poussant une joue mobile faisant monter la courroie et tirant le moteur vers l'arrière, est rapidement devenu la transmission standard [réf. nécessaire] . Les derniers modèles disposent d'un allumage électronique plus performant et nécessitant moins d'entretien que l'allumage à rupteurs des modèles précédents.

Démarreur

Initialement, le démarrage se fait grâce à des pédales car la réglementation obligeait le fonctionnement en mode « vélo » du cyclomoteur jusqu'en 1982. Un kick  apparait sur certain modèles plus récents.

Les derniers modèles, comme la 51 Hard Rock , la Magnum Racing  ou la Peugeot 103 RCX/SPX  disposent d'un démarrage par kick grâce à un système d'écrou cranté sur le vilebrequin (au niveau de l'allumage sur MBK 51  ou par des pignons sur la poulie sur les Peugeot RCX/SPX ).

Modèles Cadre tubulaire 
  • AV3
  • AV31 (1952)
  • AV32 (1952)
  • AV33 (1952)
  • AV 51 (1956)
  • AV 54 (1956)
  • AV 34 (1956)
  • AV 37  (1954)
  • AV 36 (1955)
  • AV 47 (1957)
  • BG  (1958)
Cadre coque 
  • AV 75 (1957)
  • AV 76
  • AV 78 (1956)
  • AV 79
  • AV 87
  • AV 17 (1958)
  • AV 85 (1959)
  • AV 88
  • AV 44 (1960)
  • AV 89
  • BG 43 (1961)
  • AV 43
  • AV 65
  • AV 68
  • AV 41 (1962)
  • AV 42
  • AV 48
  • AV 98  « Sommet »
  • Spéciale 50  « SP50 »
  • Spéciale route  « SPR »
  • Spéciale 98  (1965)
  • SPTT (1968)
  • SP 94 TT
  • D 52
  • D 52 TT
  • Cady
  • AV 49
  • AV 42S
  • AV 92
  • AV 93
  • AV 99
  • n40t
Autres modèles 
  • AV 42A (1968)
  • 95 TT
  • D 55
  • D 55 TT
  • Mobyx

La « mobylette » dans le langage courant

Dans le langage courant le terme « mobylette » est devenu, par antonomase  4 , 5 , le nom générique donné aux cyclomoteurs ayant l'apparence de la mobylette Motobécane (sans distinction de marque ni de modèle, couramment appelé « mob », comme c'est parfois le cas pour des produits dont le nom commercial devient le nom générique, ex : frigidaire pour un réfrigérateur, carte bleue pour une carte bancaire, etc.), notamment par leur « cadre en V », avec une transmission primaire par courroie (avec ou sans variateur) et une transmission secondaire à chaîne, et souvent équipés de pédales. Cet abus de langage s'est même étendu aux cyclomoteurs  50 cm3  à variateur  vendus dans les années 80 et 90 (comme les MTX 50 ou NSR 50 à vario ou encore le peugeot XP Avenger, etc.) car ils ne ressemblaient pas du tout aux scooters. Pour ce type d'engin, on préfère le terme générique de « cyclomoteur  » ou en abrégé « cyclo », sauf pour désigner la véritable « Mobylette ».

Ce type de cyclomoteur se rencontre encore parfois dans certaines zones rurales ; mais, en milieu urbain, les scooters (plus pratiques, plus propres avec leur graissage séparé et leurs caches esthétiques, et dont les capacités d'accélération supérieures les rendent plus adaptés à une utilisation « d'un feu à l'autre ») ont remplacé cette famille de cyclos, devenus aussi peu fréquents qu'obsolètes. Certains, cependant, demeurent, même en ville, adeptes de « la mob », moins chère que les scooters (800 €  neuve contre au moins 1 000 € ) et surtout que les « mécaboite  » (environ 2 500 € ), plus maniable pour se faufiler entre les voitures, moins lourde, plus facile à réparer, et échappant aux modes. En 2015 il arrive encore de croiser des « mob » entre autres dans Paris.

La « mob » est toujours aussi appréciée par ses propriétaires car, contrairement aux scooters, les réparations sont simples, le moteur est facile d'accès et les pièces moins onéreuses que celles des autres 50 cm3 .

Depuis la quasi-disparition des 103 et 51 dans les magasins, collectionneurs et nostalgiques commencent à s'intéresser à ces cyclos. Les utilisateurs historiques de ces machines ont entre 30  et 50  ans , et la mode du rétro-nostalgique se répand [réf. souhaitée] . D'un prix faible en occasion (150  à 300  €  pour un modèle ordinaire en état de rouler), facilement transportable dans une voiture, ne nécessitant pas de compétences très poussées en mécanique et ne demandant que peu de place, les « mobs » deviennent une façon d'entrer à moindre investissement dans le monde de la collection de véhicules à moteur. Les modèles spéciaux qui sont les plus rares ou les modèles anciens en très bon état sont les plus recherchés. Leur cote entre passionnés peut dépasser en 2015 les 800 € . Un modèle de type AV88 ou AV89 en état neuf entièrement d'origine peut même dépasser les 2 000 € 6  ; mais les modèles ordinaires à restaurer peuvent être acquis à un prix très raisonnable6 .

Des rassemblements "mobs" entre passionnés de tout âge avec balade sont souvent organisés un peu partout en France.

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MBK industrie

MBK industrie

Création 1924  à Pantin
FondateursCharles Benoît Abel Bardin
Personnages clésJules Bénézech (premier financier)
Forme juridique Société anonyme
Siège social Rouvroy  France
ActionnairesYamaha
Produits Deux-roues
Société mère Yamaha
Effectif649 (2011) 1
Site web www.mbk-europe.com  [archive ]

Dette 47 283 000 €  (2015) 2
Chiffre d’affaires 232 612 300 €  (2015) 2  1,71 % (2015) 2
Résultat net 1 735 600 €  (2015) 2  − 46,23 % (2015) 2

MBK industrie  (précédemment Motobécane-Motoconfort ) est un constructeur français de deux-roues  fondé en 1924  , devenu en 1986 filiale de Yamaha .

La MB1 : la première.

Historique

1924  : Charles Benoît et Axel Bardin conçoivent leur premier motocycle, la MB1, puis grâce au soutien financier, administratif et technique de Jules Bénézech, le 11 décembre 1924, les ateliers de la Motobécane à Pantin , à l'angle de l'avenue Jean Jaurès et de la rue de Paris, sont créés3  . En sort la Motobécane, un modèle à fourche pendulaire non amortie équipé d'un moteur deux-temps  bicylindre de 175 cm3  à transmission par courroie. Ce modèle très simple se vendra jusqu'en 1929 .

1926  : Création la marque Motoconfort en avec la sortie de la MC1 de 308 cm3  - avec une plaque rivetée « Moteur breveté Motobécane » - c'est la première moto de grosse cylindrée construite par les ateliers. Cette marque est aussi créée dans le but de ne pas compromettre le nouveau succès de l'entreprise en cas d'échec des ventes.

1929  : Début de production des BMA pour « bicyclettes à moteur auxiliaire » équipées d'un moteur 2-temps de 100 cm3 . Ces petites machines munies de pédales peuvent se conduire sans permis dès l'âge de 16 ans mais ne doivent pas dépasser les 30  km/h  ni peser plus de 30 kg . Le premier modèle est désigné « B1 ». La réglementation change pendant l'occupation  et la catégorie BMA disparaît après la Seconde Guerre mondiale . Une nouvelle catégories voit le jour : le vélomoteur, de moins de 125 cm3 , et les cyclomoteurs, de 50 cm3 . En dix ans, Motobécane produit environ 150 000 BMA. Dans les années 1930, Motobécane devient un grand constructeur de motos, avec de nombreux modèles de toutes cylindrées. On voit même des prototypes de 750 cm3  à quatre cylindres. Certains modèles ont aussi pris la dénomination « Motoconfort » pour des raisons commerciales.

1933  : La société produit sa première moto à 4-temps  de 250 cm3 . Durant cette période, une moto avec moteur à quatre cylindres en ligne est également produite en très faible quantité.

1939  : victoire au Bol d'or  avec Edouard Hordelalay  à l'Autodrome de Linas-Montlhéry .

Historique motobécane avant-guerre4 : 1929 2e du GP du Comminges 350cc3 avec Rouquayrol; 1931 2e au GP du Camp du Drap d'Or à Calais 350cc3 avec Henry Raymond; 1932 victoires Bol d'or 500cc3 avec Guillaume Lovinfosse et au Grand Prix de Hyères avec Suppo 125cc3; 1937 Bol d'or 250cc3 avec Poinot; 1938 Bol d'or side-cars 350cc3 avec Edouard Hordelalay et 600cc3 avec Fernand Françoise; 1939 Bol d'or 350cc3 avec Jean Passet et side-car 600cc3avec Edouard Hordelalay.

Motobécane Z 27 C, 1958

1945  : Juste après la Seconde Guerre mondiale , lancement d'un modèle dérivé d'un vélomoteur d'avant-guerre la D45 , monocylindre à soupapes latérales de 125 cm3  devient assez populaire et sera produite jusqu'en 1961.

1946  : Présentation de la série Z avec la Z46C équipée de suspensions et d'un moteur culbuté, elle sera commercialisée en 1947 .

1949  : Commercialisation de la Z2C 175 cm3  à la technologie KTm 250 48 ch

1954  : Motobécane lance la 350 cm3  L4C, équipée d'un très atypique moteur bicylindre en ligne, c'est un échec commercial.

1964  : Arrêt de la fabrication de la série « Z ». Pour la première fois depuis sa fondation, la firme ne produit plus de motos mais uniquement des cyclomoteurs et des bicyclettes.

1970  : Retour à la moto avec le lancement des 125 bicylindres 2 temps.

1972  : Lancement de la 350 trois cylindres 2 temps5 .

1975  : Motobécane-Motoconfort prend le contrôle de son concurrent VéloSoleX  et rapatrie sa fabrication dans une de ses usines à Saint-Quentin .

1976  : Retour à la marque unique Motobécane avec l'abandon de la marque Motoconfort.

1980  : Arrêt de la fabrication des LT3 125 bicylindres, le prototype LT4 qui devait lui succéder ne sera pas commercialisé.

1983  : Motobécane fait faillite, puis devient MBK Industrie à la suite de la reprise par différents actionnaires dont le géant mondial Yamaha .

1986  : Yamaha devient actionnaire majoritaire et prend le contrôle de MBK Industrie.

Les modèles historiques

La série MOBYLETTE

L'AV 42, surnommée la « grise », des années 1960-1970. La Spéciale 98 (années 1960).

La gamme vedette de Motobécane est la Mobylette , fabriquée à partir de 1949 , et vendue à 14 millions  d'exemplaires, ce qui fait de Motobécane le plus gros constructeur de cyclomoteurs à l'échelle mondiale.

Les premiers modèles sont très rustiques : freins à patins, absence de suspension, pédalage obligatoire pour démarrer et monter les côtes, etc.

Le variateur  est un gros progrès, supprimant l'obligation de pédaler.

Le cadre, d'abord tubulaire, est ensuite réalisé en tôle emboutie soudée électriquement, avec le réservoir inclus dans la poutre avant, ou en position haute, comme pour une moto.

Le Mobyx  est un modèle destiné aux loisirs, ses dimensions compactes permettant de le loger dans un bateau de plaisance, une caravane, voire un coffre de voiture.

Les tout derniers modèles haut de gamme conçus par l'ingénieur et directeur du bureau d'études  Eric Jaulmes, les 99 Z  et 95 TT , bénéficient d'un moteur équipé d'un contre-piston destiné à améliorer le remplissage du cylindre, c'est une sorte de compresseur.

La tentative de renouveau dans la moto

La 125 LT1. La 125 LT2. La 125 LT3. La 125 LT3 coupe (1977). La 350.

En 1969 , Motobécane présente la 125 Standard bicylindre 2-temps. Il s'agit d'une tentative pour revenir sur le marché monopolisé par les machines japonaises. Elle sera suivie par les modèles Luxe, LT, LT1, LT2 puis LT3. Ces machines se distinguent par leur moteur à cylindres en alliage d'aluminium revêtu de chrome dur et par leur allumage électronique, suspendu sous un original mais excellent cadre double berceau. Au fil du temps le succès commercial s'émousse devant les progrès fulgurants d'esthétique, de finition et d'équipement de la concurrence nippone.

Les 125 cm3  Motobécane progressent rapidement sur le plan technique, la puissance du moteur est portée à 16 chevaux  à partir de la LT1, avec le fameux segment en « L » en tête de piston assurant un taux de compression supérieur à 10/1 contre 6,5/1 pour la concurrence nippone, des améliorations de la partie cycle qui accroissaient sa tenue de route et de confort. Cependant les motos évoluent peu sur le plan esthétique, notamment sur le non-renouvellement des couleurs avant la sortie de la LT3.

L'absence de clé de contact et de béquille latérale, éléments-symboles de la moto moderne — qui permettent notamment de différencier une moto d'une simple « mobylette » et ainsi de « jouer dans la cour des grands » — sont une lacune. La Motobécane n'a pas ou peu évolué sur plusieurs points : pas de voyants dans le boîtier faisant office de tableau de bord, les comodos ont peu évolué, compteurs désuets à fond blanc, totalisateur kilométrique  à seulement quatre chiffres, chicanes dépassant des pots d'échappement, fonctionnement au mélange avant la LT2 à graissage séparé contraint à pencher sous les carburateurs derrière la prise de câble de compte-tours, car le boîtier de filtre à air, situé au-dessus et des flancs de réservoir chromés et équipés de grippe-genoux. Motobécane se veut précurseur sur bien des plans (allumage électronique, certes défaillant et peu fiable, cher et irréparable…). Faute d'avoir fait preuve de réelles stratégies d'investissement et commerciale, elle s'est vite retrouvée à l'arrière-garde à une époque où ce genre de design tombait en désuétude avant la sortie de la LT3, trop tardive et trop chère.

Les tarifs des 125 cm3  Motobécane augmenteront plus vite que ceux de la concurrence, le peu de fiabilité de l'électronique, le prix démesuré des pièces détachées (un câble d'embrayage en 1977 qui tient à peine 2 000 km  coûte 40 FRF , soit 80 euros  de 2009 si on le rapporte au prix du SMIC  horaire) feront peu à peu devenir la 125 cm3  de grande série la plus chère sur le marché.

Le projet est intéressant pour faire perdurer les accessoiristes français (Marshall pour le phare, Saker pour les poignées - qui équipait déjà les Terrot  de 1945 -, carburateur Gurtner - tellement compliqué et si peu étanche dotés d'un « titillateur » comme en 1912 -, guidon de la dernière guerre avec les poignées soudées alors que les poignées à tirage rapide inondent le marché. La fin était annoncée dès la mise sur le marché de modèles successifs toujours en retard et toujours aussi chers, seuls certains clients de la première heure restent fidèles (bien qu'il s'agisse alors de simples vélomoteurs au sens de la réglementation).

Les ressemblances avec les humbles mobylettes venaient à bout des plus téméraires acheteurs essuyant les quolibets des filles et des copains roulant alors en Suzuki TS ou GT, Yamaha ou Honda démarrant par tous les temps et toujours propres. C'est la fin d'une marque qui s'annonçait par manque de réactivité et par trop d'assurance, trop de confiance dans des valeurs désuètes et hors culture après les grands changements de Mai 68 .

En 1975 , la sortie de la LT3 apportera un remaniement esthétique, frein avant à disque, fourche Ceriani, un nouveau design du réservoir, un garde boue avant peint et de nouveaux compteurs et compte-tours . Ce modèle est disponible en trois coloris, bleu Pyrénées, orange Roussillon et vert Normandie. En 1976 , Motobécane lance la version LT3 coupe : modèle coupe tôle, puis en 1977  une version polyester. Elle sera championne du monde sur circuit en 1977 .

Motobécane tentera aussi une percée en 350 cm3 , avec une trois-cylindres deux-temps, cinq vitesses, fortement inspirée des modèles Kawasaki  et présentée aux salons 1972  de Cologne et de Paris. Un prix élevé, une arrivée tardive sur le marché anéantirent les efforts de finition et de conception consentis (phare bi-iode, réservoir de 20  litres , frein avant à disque, etc.).

Les vélos-cross

Au début des années 1980, Motobécane tente une incursion dans le monde porteur des vélos-cross. Avec le 41 MX, un mini vélo pour enfants, puis les MX 20 (puis MX 21) et MX 30 (puis 31, 32), la marque connaîtra un succès. Ces vélos aux couleurs vives (bleu pour le 41 MX, jaune fluo pour le MX 21 et orange fluo pour le MX 32) comportent des suspensions centrales (cantilever) et avant (une fourche venant de la mobylette), des plaques de numérotation dans le style des cycles de compétition, des pneus à crampons (jantes de mobylette à frein à tambour) et des selles confortables. Le poids important des vélos les empêche cependant de rivaliser avec les vraies stars du genre (du type BMX), mais la ligne donne un coup de jeune à la marque.

Les vélos de course/route/tout chemin [ modifier  |  modifier le code ]

Parmi les modèles de la marque, on liste :

Motobécane :

  • racing (1979) : Le champion et Team champion
  • sport (1979) : Grand sprint et Grand record
  • touring (1979) : Nomade, Nomade sprint, Mirage, Super mirage, Grand touring
  • Mirage sport
  • Progress (vélo pliant, 1 ou 3 vitesses)

Motoconfort :

  • Grand Touring
  • Special Sport (tube 1020, 5 vitesses)

MBK racing :

  • MBK Replica (1995)
  • MBK Criterium (1995)
  • MBK Pro Light (1995, 1999)
  • MBK Pro light (alu 7005, 7020...) - 1995
  • MBK Super pro (1995)
  • Mirage, Super Mirage, MBK Mirage pro
  • Sprint, Super Sprint
  • Leader, Super Leader
  • Winner (1995)
  • Trainer
  • MBK Sport (12 vitesses), MBK Sport I, MBK Grand Sport (1991)
  • MBK Randonnée (1991)
  • MBK Presto (18 vitesses)
  • MBK PRO-AM
  • MBK Super Record (1995)
  • MBK Chrono (1997) (acier)
  • MBK Rd300 (2008)

MBK Trekking:

  • Arkansas
  • Colorado (18 vitesses)
  • Ohio
  • Missouri
  • (Nevada)
  • Rio Grande (HPF, femme)
  • Utah (2009) (18 vitesses, fourche carbone, cadre alu)
  • Océo (24 vitesses)

VTT MBK :

  • Tracker
  • StoneCruiser (susp. AV), StoneCruiser Comp. (Tube à section en losange, fourche), StoneCruiser (non suspendu)
  • StoneClimber (fourche RST)
  • all terrain Climber
  • all terrain Cruiser
  • all terrain Rock Fighter (fourche suspendue/normale), Rock Fighter HT
  • all terrain Fun Rider
  • DundeeRock (fourche suspendue)
  • Adventure (1992), Aventure Hi-Tech
  • Performer (.-1991-.)
  • Explorer
  • Flyer 3x6 vitesses
  • Ranger (.-1989-.), all terrain Ranger Hi-Tech
  • Out Scaper
  • all terrain Baroudeur
  • all terrain Trappeur 24

Vélo de ville :

  • Antibes, Saint Brieuc, Saint Malo, Le Touquet
  • Grand sport, Sport (10 vitesses)
  • sport I
  • MBK City Salsa (6 vitesses) - 1991
  • MBK City Samba (5 vitesses)
  • MBK City Fox Trot (6 vitesses)
  • MBK City Tango
  • MBK Esprit Evolution
  • MBK Country
  • MBK Java (5 vitesses)
  • MBK Charleston - 1991
  • MBK Picpus
  • MBK Nostalgie
  • MBK Greenfield (21 ou 24 vitesses indexées, fourche susp.)
  • MBK Lady
  • MBK Diabolo (style cruiser californien)

Vélo enfant :

  • MBK Diva 20 pouces
  • MBK Explorer
  • MBK Pionnier
  • MBK Dundee Rock

Le rachat par Yamaha

En 1983 , Motobécane est en faillite et Xavier Maugendre, qui vient d'être déchargé par Kawasaki  de l'importation de cette marque en France et ancien président de la chambre syndicale française des importateurs de motos, se porte repreneur avec quelques associés en créant une SA au capital de 250 000 francs . La société change de nom pour devenir MBK Industrie et après quelques péripéties des investisseurs sont trouvés. MBK Industrie est chargée par le gouvernement  de relancer une moto française et notamment la marque BFG , ce qui tournera court. Les capitaux sont pour 60 % français, dont 20 % proviennent d'instances régionales de la Picardie. Les 40 % « étrangers » restant sont répartis entre Yamaha , deux importateurs de Yamaha (Sonauto, alors importateur entre autres de Yamaha en France et d'Ieteren  en Belgique) et le constructeur de deux-roues allemand Sachs  qui cherche un débouché pour ses moteurs. Mais la situation de MBK est difficile du fait de la chute générale du marché des cyclomoteurs que ne suffit pas à compenser la percée dans la bicyclette - notamment le bi-cross  (nombreux titres de champion du monde) et le mountain bike .

MBK Booster

En 1986, une augmentation de capital majoritairement réservée à Yamaha donne à cette firme le contrôle de MBK. La situation se redressera par la production de modèles Yamaha dans l'usine de Saint-Quentin, dont une partie, essentiellement des scooters, est vendue en France sous la marque MBK.

L'usine de Saint-Quentin , dans l’Aisne, compte aujourd'hui 632 salariés. Cette usine a produit 60 000 scooters  et cyclos de 50 cm3  (marques MBK et Yamaha), 12 000 motos Yamaha XT 660, 15 000 scooters X-City 125/250, ainsi que 40 000 moteurs marins Yamaha de petite puissance (2,5 à 8  ch ) en 20066

Il ne faut pas confondre MBK avec Motobecane USA, qui importe des deux-roues de Taïwan  et de Chine . Les deux entreprises ne sont pas liées, hormis la marque qu'elles exploitent toutes les deux.

Musée Motobécane

Au 5 rue de la Fère, à Saint-Quentin , dans l'Aisne , on peut visiter le musée Motobécane et le village des métiers d'antan.

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Pop psychédélique Pop psychédélique Données clés
Origines stylistiquesPop , pop baroque , folk psychédélique , rock psychédélique
Origines culturellesMilieu des années 1960  ; Royaume-Uni  et États-Unis
Instruments typiquesBasse , batterie , guitare , clavier

Genres dérivés

Dream pop , neo-psychedelia , wonky pop , bubblegum pop

La pop psychédélique  est un genre de musique psychédélique inspiré d'éléments de folk psychédélique  et de rock psychédélique , appliqués sur de la musique pop . Il atteint son pic de popularité à la fin des années 1960 , et décline rapidement pendant les années 1970 .

    Histoire

    Origines et caractéristiques

    Les origines de la musique psychédélique remontent à la musique folk  et rock  au milieu des années 1960 , en particulier les musiques de groupes comme les Beach Boys, The Beatles , The Byrds , The Yardbirds , et The Grateful Dead 1 , 2 . Le psychédélisme se popularise et influence la musique pop , incorporant modes hippie , références aux drogues, et des sons de sitars , de guitares, d'effets de cassettes audio2 .

    Développement Electric Prunes  en 1966.

    The Beach Boys, sous la direction de Brian Wilson , commence à expérimenter le psychédélisme, avec l'album Pet Sounds  (1966) et le single Good Vibrations , qui utilisent l'éthérophone  (une version plus simple d'utiliser le thérémine )3 . The Beatles suivent Pet Sounds  avec l'album Revolver  (1966) et de nombreux titres inspirés des Beach Boys2 . Les groupes américains pop-rock qui succèdent dans cette veine incluent The Mamas & the Papas 4 , Electric Prunes , Blues Magoos , et Strawberry Alarm Clock  avec leur premier titre à succès Incense and Peppermints 5 , 6 .

    Les titres Arnold Layne  et See Emily Play  de Pink Floyd , écrits par Syd Barrett , aident à l'émergence de la pop britannique7 , 8 . The Small Faces  s'impliquent également dans le genre avec les titres Itchycoo Park  et Lazy Sunday 9 . Certains groupes sunshine pop  comme The Association 10  et The Grass Roots  (en)  avec Let's Live for Today  (en)  (1967) s'oriente vers une direction psychédélique11 . Le single Penny Lane /Strawberry Fields Forever  des Beatles devient le prototype de la pop psychédélique et est considéré comme l'un des meilleurs double A-side jamais paru12 . Le groupe de garage rock  influencé pop s'oriente également dans cette direction, comme The Beau Brummels  et leur album Triangle  (1967)13 , et Tommy James and the Shondells  avec Crimson and Clover  (1969)14 . Des sonorités psychédéliques sont également utilisées par des premiers groupes de bubblegum pop  comme The Monkees , en particulier l'album Head  (1968), et The Lemon Pipers  avec leur titre Green Tambourine  (1968)15 .

    Le chanteur écossais de folk Donovan , atteint également le succès dans ce genre avec des titres comme Sunshine Superman , qui atteint la première place des classements britanniques et américains, suivi par Mellow Yellow  (1966) et Atlantis  (1968)1 , 16 . La majeure partie de la pop britannique obtient moins de succès à l'international, comme avec le groupe The Flower Pot Men  et leur titre Let's Go To San Francisco , et The Move  avec I Can Hear the Grass Grow  et Flowers in the Rain , qui atteignent tous les classements britanniques en 196717 . The Zombies  produisent, quant à eux, l'album à succès Odessey and Oracle  (1968), mais les membres se séparent avant que le titre Time of the Season , leur plus grand hit en 1969, n'atteignent la troisième place du Billboard  10018 .

    Popularisation internationale The Easybeats , en 1967.

    La pop orientée psychédélisme se popularisent chez les groupes australiens  et néo-zélandais , comme The Easybeats , formé à Sydney , mais qui a enregistré son hit Friday on My Mind  (1966) à Londres , puis y est resté jusqu'à la séparation de ses membres en 197019 . Un chemin similaire est suivi par les Bee Gees , formé à Brisbane , mais dont le premier album Bee Gees 1st  (1967) qui a été enregistré à Londres, recense trois singles à succès contenant des éléments de folk, rock et psychédélique, largement influencés par les Beatles20 . The Twilights, formé à Adélaïde , font également un voyage vers Londres, pour l'enregistrement de quelques hits inspirés de la scène psychédélique, et retournent au pays pour produire des reprises de chansons des Beatles, et l'album-concept  Once Upon a Twilight (1968)21 . Le groupe à succès néo-zélandais, The La De Das, produit l'album-concept psychédélique The Happy Prince  (1968), mais ne se popularise pas plus loin que dans leur pays22 .

    Déclin et revirement

    À la fin des années 1960 , le rock et folk psychédélique sont en déclin. Des groupes qui ont survécu à ce déclin s'orientent vers des racines rock plus traditionnelles1 . Les influences psychédéliques durent un peu plus longtemps dans la pop, et joueront un rôle important dans le développement de la bubblegum pop 2 . Il existait quelques artistes orientés neo-psychedelia , comme Prince  et Lenny Kravitz 23 .

    Artistes [ modifier  |  modifier le code ]

    Ère psychédélique [ modifier  |  modifier le code ]
    • The Association 10
    • The Beach Boys 24
    • The Beatles 23 , 25
    • The Beau Brummels 13
    • Bee Gees 20
    • Blues Magoos
    • The Byrds 26
    • Donovan 1
    • The Electric Prunes
    • The End 27
    • The Flower Pot Men 17
    • The Grass Roots11
    • The La De Das22
    • The Left Banke 28
    • The Lemon Pipers29
    • Love 26
    • The Lovin' Spoonful 30
    • The Monkees 31
    • The Move 17
    • The Neon Philharmonic32
    • Pink Floyd 7 , 23
    • The Rolling Stones 33
    • The Small Faces 34
    • Syd Barrett 35
    • The Twilights21
    • The World of Oz36
    • The Zombies 37
    2

    • Tame Impala
    -----------------------------------

    Flower power A demonstrator offers a flower to military police at an anti-Vietnam War protest at The Pentagon in Arlington, Virginia, 21 October 1967

    Flower power  was a slogan  used during the late 1960s and early 1970s as a symbol of passive resistance  and non-violence  ideology .[1] It is rooted in the opposition movement to the Vietnam War .[2]  The expression was coined by the American beat poet  Allen Ginsberg  in 1965 as a means to transform war protests into peaceful affirmative spectacles.[3] [4] [5]  Hippies  embraced the symbolism by dressing in clothing with embroidered flowers and vibrant colors, wearing flowers in their hair, and distributing flowers to the public, becoming known as flower children .[6]  The term later became generalized as a modern reference to the hippie movement and the so-called counterculture of drugs, psychedelic music , psychedelic art and social permissiveness.[7]

    Origin

    Flower Power originated in Berkeley , California , as a symbolic action of protest against the Vietnam War. In a November 1965 essay titled How to Make a March/Spectacle , Ginsberg advocated that protesters should be provided with "masses of flowers" to hand out to policemen, press, politicians and spectators.[8]  The use of props like flowers, toys, flags, candy and music were meant to turn anti-war rallies into a form of street theater  thereby reducing the fear, anger and threat that is inherent within protests.[9]  In particular, Ginsberg wanted to counter the "specter" of the Hells Angels  motorcycle gang who supported the war, equated war protesters with communists and had threatened to violently disrupt planned anti-war demonstrations at the University of California, Berkeley .[10] [11] [12]  Using Ginsberg's methods, the protest received positive attention and the use of "flower power" became an integral symbol in the counterculture movement.[13]

    Movement "The cry of 'Flower Power' echoes through the land. We shall not wilt. Let a thousand flowers bloom." — Abbie Hoffman , Workshop in Nonviolence , May 1967

    By late 1966, the Flower Power method of guerilla theater  had spread from California to other parts of the United States. The Bread and Puppet Theater  in New York City staged numerous protests which included handing out balloons and flowers with their anti-war literature.[14]  Workshop in Nonviolence  (WIN), a magazine published by New York activists, encouraged the use of Flower Power. In May 1967, Abbie Hoffman  organized the Flower Brigade as an official contingent of a New York City parade honoring the soldiers in Vietnam. News coverage captured Flower Brigade participants, who carried flowers, flags and pink posters imprinted with LOVE, being attacked and beaten by bystanders.[14]  In response to the violence, Hoffman wrote in WIN magazine, "Plans are being made to mine the East River with daffodils. Dandelion chains are being wrapped around induction centers.... The cry of 'Flower Power' echoes through the land. We shall not wilt."[14]

    On the following Sunday in May 1967, WIN activists declared the Armed Forces Day  as "Flower Power Day" and held a rally in Central Park  to counter the traditional parade. Turnout was low and, according to Hoffman, the rally was ineffective because guerilla theater needed to be more confrontational.[14] [15]

    In October 1967, Hoffman and Jerry Rubin  helped organize the March on the Pentagon  using Flower Power concepts to create a theatrical spectacle.[16]  The idea included a call for marchers to attempt to levitate the Pentagon . When the marchers faced off against more than 2500 Army national guard troops forming a human barricade in front of the Pentagon, demonstrators held flowers and some placed flowers in the soldier's rifle barrels .[17]

    One photo, titled   Flower Power   by Washington Star photographer   Bernie Boston , was nominated for the 1967   Pulitzer Prize . [19]   The photo, taken on October 21, 1967, shows a young, long-haired man in a   turtleneck sweater , placing   carnations   into the rifle barrels of   military policemen . (The young man in the photo was not named by Boston and his identity is disputed. He was most commonly identified as George Edgerly Harris III, an 18-year-old actor from New York who later performed in San Francisco under the stage name of   Hibiscus . [21]   The young man also has been identified by   Paul Krassner   as   Youth International Party   organizer, "Super-Joel" Tornabene. [22] ) Photographs of flower-wielding protesters at the Pentagon March became seminal images of the 1960s anti-war protests. An image  by French photojournalist Marc Riboud  that was printed throughout the world was of seventeen-year-old high school student Jan Rose Kasmir  clasping a daisy and gazing at bayonet-wielding soldiers. Smithsonian Magazine  later called it "a gauzy juxtaposition of armed force and flower child innocence".[20]

    Cultural legacy

    The iconic center of the Flower Power movement was the Haight Ashbury  district in San Francisco , California .[23] [24]  By the mid-1960s, the area, marked by the intersection of Haight and Ashbury streets, had become a focal point for psychedelic rock music.[25]  Musicians and bands like Jefferson Airplane , the Grateful Dead  and Janis Joplin  all lived a short distance from the famous intersection. During the 1967 Summer of Love , thousands of hippies gathered there, popularized by hit  songs such as "San Francisco (Be Sure to Wear Flowers in Your Hair) ". A July 7, 1967, Time  magazine cover story on "The Hippies: Philosophy of a Subculture" and an August CBS News  television report on "The Hippie Temptation",[26]  as well as other major media interest, exposed the hippie subculture to national attention and popularized the Flower Power movement across the country and around the world. That same summer, the Beatles ' hit single "All You Need Is Love " served as an anthem for the movement.[27]  On 25 June, the Beatles performed the song on the Our World  international satellite broadcast, ensuring that the pacifist message reached an audience estimated at 400 million.[28]

    The avant-garde  art of Milton Glaser , Heinz Edelmann , and Peter Max  became synonymous with the flower power generation. Edelman's illustration style was best known in his art designs for the Beatles' 1968 animated film Yellow Submarine . Glaser, the founder of Push Pin Studios , also developed the loose psychedelic graphic design, seen for example in his seminal 1966 poster illustration of Bob Dylan  with paisley hair.[29]  It was the posters by pop artist Peter Max , with their vivid fluid designs painted in Day-Glo  colors, which became visual icons of flower power.[30]  Max's cover story in Life  magazine (September 1969) as well as appearances on The Tonight Show Starring Johnny Carson  and The Ed Sullivan Show , further established "flower power" style art into mainstream culture.[31]

    Categories : 
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    • Opposition to the Vietnam War
    • Words coined in the 1960s
    • 1960s in California
    • 1970s fads and trends

    • Epoque: Rétro (1900-1979)
    • Objet modifié: Non
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