Photo de Presse Festival Cannes 1961 _ Montant _ Ingrid Bergman _ Antony Perkins

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belle photo de presse du FESTIVAL DE CANNES 1985

notez bien les dimensions: FORMAT: 21 cm x 28 cm

Yves Montand, nom de scène d'Ivo Livi, né le 13 octobre 1921 à Monsummano Terme (Italie) et mort le 9 novembre 1991 à Senlis (France), est un chanteur et acteur français d'origine italienne (naturalisé français en 1929). Ivo Livi, fils de Giovanni et Giuseppina Livi (1893-1971), naît à Monsummano Alto, en Toscane (Italie), un an avant l'arrivée au pouvoir de Benito Mussolini (le 31 octobre 1922) et la mise en place du régime fasciste. Il est le dernier d'une fratrie de trois enfants (sa sœur Lydia est née en 1915, et son frère aîné Giuliano — Julien — (1917-1994)). Il est issu d'une famille ouvrière et militante, qu'il vénérera toute sa vie, et qui lui transmet son attachement pour le communisme. en 1923, Ivo n'a que deux ans lorsque sa famille fuit l'Italie fasciste et émigre vers la France. Les Livi s'installent au sein des quartiers pauvres de Marseille. Le père d'Ivo crée une petite fabrique de balais dans le quartier des Crottes. Ses deux aînés quittent rapidement l'école pour gagner leur vie : Lydia devient coiffeuse, et son frère Julien serveur de café, et fervent militant communiste. L'enfance d'Ivo est difficile matériellement ainsi que moralement. Il est en effet considéré comme un « immigré rital ». C'est à cette époque qu'il se passionne pour le cinéma et notamment pour les comédies musicales américaines, en particulier celles de son idole Fred Astaire et ses numéros de claquettes. Par décret du 20 janvier 1929, la famille Livi obtient la nationalité française et Ivo devient Yves. La même année, la famille déménage dans le quartier de La Cabucelle. Les conséquences de la Grande Dépression ruinent le père d'Yves qui se voit contraint de déposer le bilan de la fabrique familiale de balais en 1932. Yves a onze ans et est nettement plus grand que la moyenne des enfants de son âge lorsqu'il falsifie ses papiers pour se faire engager dans une fabrique de pâtes (la loi interdit le travail avant l'âge de quatorze ans). Il sera encore livreur, puis serveur, avant d'être à quatorze ans apprenti dans le salon de coiffure pour dames où travaille sa sœur Lydia, et passe avec succès un CAP de coiffeur. Il travaille par la suite sur les docks de Marseille. Le 9 novembre 1991, Yves Montand meurt d'un infarctus du myocarde à l'âge de 70 ans, le lendemain du dernier jour de tournage du film IP5 de Jean-Jacques Beineix (à la fin duquel son personnage, lui aussi, meurt d'une crise cardiaque). L'acteur ambitionnait de faire sa rentrée sur la scène de Bercy au printemps 1992. Pour les besoins du scénario, protégé par une combinaison de plongeur sous ses vêtements, il s'était baigné, fin septembre, dans un lac glacé des étangs de Commelles dans la forêt de Chantilly, près de Senlis. Après le tournage d'un dernier raccord, Montand ressent un malaise. « Avec tout ce que j'ai vécu, j'ai eu une vie tellement formidable que je ne regretterai pas de partir », déclare-t-il à l'un des ambulanciers. Il meurt à l'hôpital de Senlis et est inhumé au cimetière du Père-Lachaise aux côtés de Simone Signoret, la seule femme à laquelle il fut marié. À ses obsèques furent présents entre autres Jean-Louis Livi, son neveu, Catherine Allégret, sa belle-fille, Jean-Pierre Castaldi, Catherine Deneuve, Michel Piccoli, Jack Lang, Gérard Depardieu, Claude Sautet, Alain Corneau, Claude Berri, Gérard Oury, Michèle Morgan, Danièle Thompson, Jean-Paul Rappeneau, Olivier Martinez, Jean-Jacques Beineix, Serge Reggiani, François Périer, Costa-Gavras, Miou-Miou ou encore Daniel Auteuil…

En août 1949, Yves Montand rencontre Simone Signoret en vacances à Saint-Paul-de-Vence. C'est le coup de foudre. Elle quitte Yves Allégret pour le suivre, avec sa fille Catherine Allégret, et ils se marient en décembre 1951. En 1960-61, il tourne Le Milliardaire avec Marilyn Monroe et a une liaison passagère avec elle. En septembre 1985, il vit le drame de la disparition de Simone Signoret et fait la connaissance, lors du tournage de Manon des sources, d'une jeune assistante, Carole Amiel, dernière femme de sa vie et mère de son unique enfant, Valentin, né le 31 décembre 1988. Invitée de l'émission « On va se gêner » de Laurent Ruquier sur la Station Europe1 en novembre 2011, Carole Amiel révèle qu'elle avait croisé Yves Montand sur une route de Saint-Paul-de-Vence alors qu'elle avait quatorze ans. Elle avait ensuite entretenu une relation amicale avec lui jusqu'à l'âge de vingt ans, moment où cette relation a « évolué en relation amoureuse ». Au moment de la naissance de Valentin, Montand est alors âgé de soixante-sept ans. En 1989, Anne Drossart, ex-comédienne, engage une action en recherche de paternité au nom de sa fille Aurore, née le 6 octobre 1975, pour démontrer que l'acteur est le père d'Aurore. En avril 1990, le tribunal de Paris demande une analyse sanguine mais Yves Montand refuse de son vivant de se soumettre à cette expertise biologique et conteste la validité des témoignages suggérant des « relations stables et continues » entre lui et Anne Drossart. Le tribunal de grande instance de Paris, par un jugement du 6 septembre 1994 tirant les conséquences probatoires d'un tel refus et s'appuyant sur « la grande ressemblance de la jeune fille », déclare la paternité d'Yves Montand. Les ayants droit d'Yves Montand (Catherine Allegret et Carole Amiel) entre-temps décédé saisissent la Cour d'appel pour obtenir la réformation de la décision. Toutes les parties au procès sollicitent du juge que soit autorisée une expertise comparative d'ADN post mortem. Sa dépouille est exhumée nuitamment le 11 mars 1998 et le 11 juin 1998, trois experts remettent à la cour d’appel de Paris leur rapport concluant à la « non-paternité » d’Yves Montand. Les Drossart, défendus par Gilbert Collard, se pourvoient en cassation en 1999. 2001 marque la fin de la procédure avec le rejet du pourvoi en cassation. Condamnée à payer les dépens du procès (soit 33 500 euros) réclamés par la famille Montand, Aurore organise son insolvabilité, vit depuis de petits boulots et décide de ne jamais posséder d'appartement pour éviter qu’on saisisse son salaire ou son logement. Son petit-fils adoptif, Benjamin Castaldi, dans son livre Maintenant, il faudra tout se dire aux éditions Albin-Michel en 2004, soutient qu'il y aurait eu une liaison amoureuse filialement perturbante, à la fois dite et non dite et connue de Signoret, entre Yves Montand et la fille de Simone Signoret, Catherine Allégret, élevée par Montand et tout juste majeure. En 2005, quatre mois après les affirmations de son fils Benjamin Castaldi, Catherine Allégret évoque cette prétendue relation avec son beau-père, dans un livre intitulé Un monde à l'envers, dans lequel elle écrit qu'il se serait livré à des attouchements sur elle au moins une fois quand elle était enfant et qu'il aurait longtemps gardé plus tard une « attitude plus qu'équivoque » à son égard.

Ingrid Bergman, née le 29 août 1915 à Stockholm, Suède, et morte le 29 août 1982 à Londres, Royaume-Uni, est une actrice suédoise. Elle avait déjà tourné quelques films en Suède lorsque le producteur David O. Selznick lui propose en 1939 de reprendre le rôle principal de la réadaptation américain d'Intermezzo, ce qui la fait connaître dans son pays. Sa carrière internationale est lancée et sa popularité s'accroît de films en films : Casablanca, Pour qui sonne le glas, Hantise, qui lui vaut l’Oscar de la meilleure actrice, puis Jeanne d'Arc en font la star mondiale la plus désirée et la mieux rémunérée. Elle connaît son apogée avec trois films d'Alfred Hitchcock : La Maison du docteur Edwardes, Les Enchaînés et Les Amants du Capricorne. Elle fait scandale lorsqu'elle part rejoindre le metteur en scène Roberto Rossellini, laissant derrière elle son mari et sa fille, pour tourner Stromboli. Les attaques conjointes de groupements religieux, d'associations féministes et même de politiciens la font bannir du cinéma américain pendant sept ans. En 1956, elle tourne à Paris avec Jean Renoir dans Elena et les Hommes, puis à Londres dans Anastasia, qui lui vaudra un deuxième Oscar. Ingrid Bergman reste comme l’une des plus grandes actrices de l’histoire du cinéma. En 1999, le classement « AFI’s 100 Years… 100 Stars » de l’American Film Institute la classe quatrième au panthéon des plus grandes actrices du cinéma américain. Ingrid Bergman naît le 29 août 1915 à Stockholm. Sa mère, Friedel Henrietta Adler, une Allemande, avait perdu auparavant un premier enfant mort-né et un deuxième décédé sept jours après sa naissance. Friedel Adler meurt d'une jaunisse lorsque sa fille a tout juste trois ans. Son père, Justus Bergman, un Suédois, élève sa fille seul et meurt d'un cancer, le 29 juillet 1929 : elle a alors quatorze ans. Elle est ensuite confiée à l'une de ses tantes, puis passe son adolescence chez un de ses oncles. Ingrid Bergman entre à la Kungliga Dramatiska Teatern or Dramaten de Stockholm pour un an, période pendant laquelle elle fait ses débuts au cinéma. Elle interprète une femme de ménage dans Munkbrogreven, sous la direction de Gustaf Molander - avec qui elle tournera à six autres reprises dont Intermezzo, en 1936 - , ce qui changera sa vie. Dès lors, Ingrid Bergman tourne avec les plus grands acteurs hollywoodiens sous la direction de réalisateurs fameux. Si elle tourne relativement peu de films, elle reste fidèle à quelques réalisateurs, comme Alfred Hitchcock. Elle tient la vedette dans quelques longs métrages comme La Famille Stoddard de Gregory Ratoff, La Proie du mort de W. S. Van Dyke ou encore Docteur Jekyll et M. Hyde de Victor Fleming. Ces différents rôles lui permettent d'améliorer son jeu d'actrice. En 1942, dans Casablanca, elle incarne le personnage d'Ilsa Lund, qui séduit Rick Blaine, joué par Humphrey Bogart. Il s'agit de son rôle le plus célèbre qui fait d'elle une star mondialement connue. Deux ans plus tard, Ingrid Bergman obtient sa première présélection pour l'Oscar de la meilleure actrice avec Pour qui Sonne le Glas (For Whom the Bell Tolls) de Sam Wood, où elle côtoie Gary Cooper. La statuette est finalement obtenue par Jennifer Jones. Ingrid Bergman gagne néanmoins la récompense l'année suivante pour son rôle d'épouse psychologiquement fragile, victime d'un leurre machiavélique dans Hantise (Gaslight) de George Cukor. Elle reçoit sa troisième nomination consécutive pour l'Oscar de la meilleure actrice avec le film Les Cloches de Sainte-Marie (The Bells of St. Mary's) en 1945. Les Enchaînés (1946). En 1946, elle donne l'une de ses interprétations les plus marquantes, aux côtés de Cary Grant, dans le film d'espionnage Les Enchaînés (Notorious) d'Alfred Hitchcock. Jeanne d'Arc (Joan of Arc) de Victor Fleming lui vaut une nouvelle présélection en 1948. En 1949, Ingrid Bergman rencontre le réalisateur Roberto Rossellini dont elle admirait les films. Alors qu'elle joue dans son film Stromboli (1950), ils tombent amoureux et elle quitte l'Amérique et son mari, Petter Lindström, à qui elle laisse la garde de leur fille, Pia, et s'installe en Italie avec Rossellini, qui a coupé pour elle sa liaison avec Anna Magnani, ce qui provoque un scandale aux États-Unis. Elle l'épouse et ils auront trois enfants, deux jumelles, Isabella et Isotta Rossellini et un fils, Renato Rossellini. Elle tourne quatre autres films sous la direction de Rossellini, ouvrant la période dite des « Bergman-films » et marquant une étape décisive dans leurs carrières respectives : Europe 51, Voyage en Italie, La Peur, Jeanne au bûcher. Avec le rôle principal dans Anastasia d'Anatole Litvak (1956) (qui en fait l'héritière inconnue de la couronne des Romanov, massacrés après la révolution russe), Bergman fait son grand retour à Hollywood et remporte l'Oscar de la meilleure actrice pour la seconde fois de sa carrière. Cette récompense a donc valeur de pardon accordé par le « métier » à la star pour ses escapades italiennes. La comédienne, revenue au zénith, alterne plusieurs rôles dans des films américains et européens. Elle obtient le troisième et dernier Oscar de sa carrière, le seul en tant qu’actrice dans un second rôle, pour sa participation au Crime de l'Orient-Express (Murder on the Orient Express) en 1975. Deux ans plus tard, elle interprète le personnage de Charlotte, pianiste virtuose mais mère indigne, dans Sonate d'automne (Autumn Sonata) d'Ingmar Bergman, pour lequel elle reçoit sa septième nomination aux Oscars. Ce dernier rôle pour le grand écran est considéré comme l'une de ses prestations les plus abouties. Elle fut présidente du jury au Festival de Cannes en 1973. C'est grâce à ce film, où elle interprète une jeune professeur de piano dont tombe amoureux le père de son élève, qu'elle est remarquée par le producteur de Autant en emporte le vent, David O. Selznick. Ce dernier produit la réadaptation d'Intermezzo où Ingrid tient à nouveau le rôle principal. Le film est un succès et lui ouvre les portes d'Hollywood. Elle est décrite comme un « illustre cadeau de la Suède à Hollywood. » Selznick lui propose d'américaniser son nom, ce qu'elle refuse, et lui fait signer un contrat d'une durée de sept ans, bien qu'ils ne fissent que deux films ensemble au cours de cette période. Le producteur loue ainsi l'actrice à plusieurs studios. Il la négociera notamment 125 000 dollars à la Warner pour Casablanca. En 1982, le jour de son soixante-septième anniversaire, Ingrid Bergman meurt à Londres des suites d'un cancer du sein détecté neuf ans plus tôt. Son corps sera incinéré en Suède. Une partie de ses cendres est dispersée dans la mer, l'autre partie étant inhumée au Norra begravningsplatsen (« cimetière du Nord ») de Stockholm. Pour le premier anniversaire de sa mort, plusieurs de ses amis et parents vinrent l'honorer au Festival du cinéma de Venise. Parmi eux, Gregory Peck, Audrey Hepburn, Charlton Heston, Walter Matthau, Roger Moore, Olivia de Havilland, Claudette Colbert et le Prince Albert de Monaco étaient présents. Elle meurt seulement quelques jours après sa compatriote, l'actrice suédoise Ulla Jacobsson, également morte d'un cancer. Son premier mari, Petter Aron Lindström, né en 1907, est le père de sa fille Pia (pour Petter Ingrid Aron), née le 22 septembre 1938. Il rejoindra Ingrid Bergman aux États-Unis et obtiendra son diplôme de médecin à Rochester. Dans son autobiographie, Ma Vie (My Story), qui fut un livre à succès, elle révèle sa liaison avec le photographe de guerre Robert Capa qui dura deux ans. Il travaillait alors comme photographe de mode et photographe de plateau pour l'American International Pictures, notamment pour le film d’Alfred Hitchcock Les Enchaînés. Hitchcock s'inspira de l’idylle du couple pour écrire le scénario de Fenêtre sur cour. Le metteur en scène de théâtre Lars Schmidt, qui fut son mari de 1958 à 1975, et elle possédaient leur propre île sur la côte suédoise, nommée Danholmen. Elle fut un temps la belle-mère de Martin Scorsese, lorsque celui-ci épousa sa fille, Isabella Rossellini. Ingrid Bergman parlait couramment le suédois, l'allemand, le français, l'anglais et l'italien. Elle n'avait aucun lien de parenté avec son compatriote le réalisateur suédois Ingmar Bergman. Ingrid Bergman et Roberto Rossellini en 1951. C'est en 1948, après avoir vu Rome, ville ouverte, qu'Ingrid Bergman écrivit à Roberto Rossellini pour lui proposer de travailler avec elle : « Cher M. Rossellini, J'ai vu vos films Rome, ville ouverte et Païsa, et les ai beaucoup appréciés. Si vous avez besoin d'une actrice suédoise qui parle très bien anglais, qui n'a pas oublié son allemand, qui n'est pas très compréhensible en français, et qui en italien ne sait dire que « ti amo », alors je suis prête à venir faire un film avec vous. » Elle accepta le rôle du film qu'il avait alors en préparation, Stromboli. Ils se marièrent le 24 mai 1950 et eurent trois enfants : un fils, Roberto Ingmar Rossellini le 2 juillet 1950, les jumelles Isabella Rossellini (qui deviendra actrice) et Isotta (qui sera professeur d'université), le 18 juin 1952. Cette relation suscita un scandale : Bergman, enceinte au moment de son mariage, fut présentée comme « l'apôtre de la dégradation d'Hollywood »[réf. nécessaire] et contrainte à quitter les États-Unis d'Amérique. Au cours des années suivantes, elle apparut dans quatre autres films de Rossellini, dont Voyage en Italie (1954), film très important, considéré par plusieurs critiques des Cahiers du cinéma comme étant le premier « film moderne ». Rossellini et Bergman divorceront le 7 novembre 1957. Roberto Rossellini fit cadeau à Ingrid Bergman en 1954 d'une Ferrari spécialement dessinée pour l'actrice par le carrossier Scaglietti. Ce modèle unique porte le nom de 375 MM « Ingrid Bergman ». La teinte grise de cette voiture deviendra par la suite le « Grigio Ingrid » dans la production Ferrari. Né en 1906, Roberto Rossellini décèdera en 1977. 

Anthony Perkins est un acteur américain, né le 4 avril 1932 à New York et mort le 12 septembre 1992 à Los Angeles. Il est mondialement connu pour son interprétation de Norman Bates, le personnage principal du film Psychose d'Alfred Hitchcock et de ses suites.  Son père, Osgood Perkins, est un comédien de théâtre d'une certaine notoriété à Broadway. Le jeune Tony perd son père en 1937 ; dès la fin de son adolescence, il suit ses traces, se retrouvant à Broadway où il entame une carrière théâtrale qu'il poursuivra bien après ses débuts au cinéma.[réf. nécessaire] Son expérience théâtrale du début des années 1950 se soldant par un bilan mitigé, les succès alternant avec les échecs, il débute au cinéma dès 1954 dans The Actress de George Cukor, aux côtés de Jean Simmons (il joue son fiancé), Spencer Tracy et Teresa Wright. Commence alors pour Perkins une période variablement gratifiante et enrichissante : les années 1950 lui offrent surtout des rôles de jeunes premiers nerveux tantôt idiots, exaspérants, égoïstes, profondément naïfs ou encore inexpérimentés. Il tournera, au cours de cette même décennie, pour des réalisateurs de talent, la référence restant son incarnation de Joseph dans Barrage contre le Pacifique de René Clément d'après le roman de Marguerite Duras en 1958. Ensuite, il joue avec d'autres réalisateurs estimables mais souvent dans des films mineurs comme les westerns Jicop le proscrit d'Henry Levin et Du sang dans le désert d'Anthony Mann en 1957 à l'exception de La Loi du Seigneur de William Wyler, Palme d'or au Festival de Cannes en 1957 dans lequel il tourne aux côtés de Gary Cooper et Dorothy McGuire. En 1959, il partage l'affiche du Dernier Rivage film de science-fiction ambitieux de Stanley Kramer avec Fred Astaire, Gregory Peck et Ava Gardner. Parallèlement à sa carrière d'acteur, vers le milieu des années 1950, Anthony Perkins commence à enregistrer ses premiers disques sur lesquels on découvre une belle voix de crooner. Il grave ainsi plusieurs microsillons tendance jazzy et enregistre également quelques 45 tours en français, notamment sa version d’Il n'y a plus d'après de Guy Béart (1961). La carrière de Perkins bascule en 1960, et sa notoriété devient internationale : Alfred Hitchcock lui confie le rôle de Norman Bates dans son seul film « d'horreur », tourné en noir et blanc, avec également Janet Leigh, Vera Miles, John Gavin et Martin Balsam : Psychose (1960). L'interprétation de Perkins fascine, le film est un triomphe. Bien que tourné avec un budget plutôt limité, c'est le film d'Hitchcock qui fera le plus de recettes. L'année suivante, il joue dans le film d'Anatole Litvak, Aimez-vous Brahms ?, qui lui vaut le prix d'interprétation à Cannes, et Phaedra de Jules Dassin où il incarne Hippolyte face à Mélina Mercouri-Phèdre. En 1962, Perkins est choisi par Orson Welles pour jouer Joseph K. dans son adaptation du Procès de Kafka : ce sera son deuxième et dernier grand rôle. Si le choix de Perkins est critiqué à la sortie du film, son interprétation est reconnue aujourd'hui comme juste, sensible et intelligente.[réf. nécessaire] Le Procès sera l'un des films de la période européenne de Perkins, au cours de laquelle il tournera aussi avec Claude Chabrol dans Le Scandale (1967) et La Décade prodigieuse, où Perkins retrouve Welles qui fait l'acteur. Malgré sa vie privée, Perkins entretient une image de séducteur hétérosexuel à l'écran, auprès de Jane Fonda, Brigitte Bardot, Sophia Loren, Ingrid Bergman, Shirley MacLaine ou Audrey Hepburn.. Après 1962, peu de films de l'acteur restent des références ; on peut tout de même citer Paris brûle-t-il ? (René Clément, 1966), Le Glaive et la Balance (André Cayatte, 1963), Juge et Hors-la-loi (John Huston, 1973), Le Crime de l'Orient-Express (Sidney Lumet, 1974), mais dans ces trois films, il se contente d'un petit rôle au milieu d'une foule d'autres stars. Bisexuel, Perkins entretient d'abord des relations avec des hommes comme avec Patrick Loiseau, puis il rencontre l'actrice Victoria Principal sur le tournage de Juges et hors-la-loi ; il se marie avec Berry Berenson (photographe, sœur de Marisa Berenson) en 1973 ; ils auront deux fils peu de temps après, Osgood (né le 2 février 1974) qui deviendra acteur et Elvis (né le 9 février 1976) qui deviendra chanteur. Il joue également dans un film de science-fiction des productions Walt Disney, Le Trou noir, où il incarne le docteur Alex. Mais Norman Bates finit par être rattrapé par son succès du passé dont il ne s'est jamais vraiment débarrassé : en 1983, il reprend le rôle dans Psychose 2, réalisé par Richard Franklin. Le film est plus un hommage à Alfred Hitchcock qu'autre chose. On demande à Perkins, en 1985, de prendre en charge la réalisation de Psychose 3 (Psychose III). Mais Perkins n'est pas réalisateur et sa motivation est pour le moins limitée : le film est un échec critique et commercial. Il en réalise un dernier, Le Dindon de la farce, en 1988. Il reprendra en 1990, en tant qu'interprète, une dernière fois son rôle phare dans Psychose 4 (Psycho IV: The Beginning), cette fois adapté pour le marché de la vidéo/TV. À partir de 1985, l'acteur doit vivre avec le Sida ; il fait preuve de courage et d'une totale discrétion au sujet de sa maladie, si bien que certains de ses proches n'en apprendront l'existence que peu de temps avant sa mort. La maladie l'emporte le 12 septembre 1992. L'urne contenant ses cendres se trouve actuellement au cimetière d'Hollywood. Sa veuve, Berry Berenson, est à bord du vol 11 American Airlines qui s'écrase contre la première tour du World Trade Center, le 11 septembre 20011. Dans une série d'entretiens qu'il accorde à un journaliste, quelques mois avant sa mort, Perkins est méconnaissable : vieilli, affaibli et surtout d'une grande maturité. Anthony Perkins, tout au long de sa carrière, ne se sera vu proposer que peu de rôles à la hauteur de son talent et n'a pas su, ou pu, se débarrasser de Norman Bates, rôle qui lui a collé à la peau et qui a pu donner l'impression qu'il n'était pas capable de faire autre chose.

  • Condition: Occasion
  • Authenticité: Tirage original
  • Type: Tirage argentique
  • Période: De 1940 à 1990
  • Format (cm): 21x28

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