HILDEGARDE DE BINGEN - SOPHIE MARCHETEAU - SECRETS & REMEDES 2016 Beau Livre

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[NATUROPATHIE - PHYTOTHERAPIE - MEDECINE - SPIRITUALITE ]
Hildegarde de Bingen
1098-1179
Sainte catholique
moniale, fondatrice, mystique,
Docteur de l'Église
 Ordre de Saint-Benoît
Fête 17 septembre
Hildegarde de Bingen, née en 1098 à Bermersheim vor der Höhe près d'Alzey (Hesse rhénane)
 et morte le 17 septembre 1179 à Rupertsberg (près de Bingen), est une moniale bénédictine allemande, parfois dénommée Hildegarde de Rupertsberg.
Docteur de l’Église, elle a développé de nombreux talents, étant à la fois abbesse, mystique, visionnaire, illustratrice, compositrice, poétesse, fondatrice et prédicatrice franconienne. 
Elle est aussi une figure marquante de l'apogée de la médecine monastique de la fin du Haut Moyen Âge, période de transition vers le Moyen-Âge central dans lequel se situe la vie d'Hildegarde.
Bienheureuse de l'Église catholique depuis le XIIe siècle, en 2012, elle a été canonisée et proclamée 
Docteure de l'Église par le pape Benoît XVI.
Biographie
Enfance  
Hildegarde naît aux environs de 1098. Elle est la dixième enfant d'une famille noble du Palatinat, et ses parents, Hildebert et Mechtilde (Mathilde), sont probablement issus du comté de Spanheim.
« Dès sa naissance, elle fut vouée par ses parents au service de Dieu. » Hildegarde affirme avoir reçu les premières visions dans la petite enfance : « Dans la troisième année de mon âge j'ai vu une telle lumière que mon âme en a été ébranlée, mais à cause de mon enfance je n'ai rien pu en dire. » 
Entrée en vie religieuse
« À l’âge de huit ans, elle fut offerte à l’état religieux (selon la Règle de saint Benoît) et, afin de recevoir 
une formation humaine et chrétienne appropriée, elle fut confiée aux soins de la veuve consacrée Uda de Göllheim, puis de Jutta von Sponheim qui s’était retirée en clôture dans le monastère bénédictin de Disibodenberg » sur le Rhin, dans le diocèse de Mayence.
Vers l'âge de 14 ou 15 ans, la majorité étant fixée à 12 ans pour les filles, Hildegarde reçut le voile des mains de l’évêque Othon de Bamberg qui, de 1112 à 1115, remplace l’archevêque Adalbert de Mayence,
 prisonnier  de l'empereur Henri V.
 Selon la règle de saint Benoît, l’accent est mis sur la prière et le travail manuel ou intellectuel,
 loin de l’oisiveté comme de l’ascétisme excessif : ce sont ces idées que l’on retrouve dans la correspondance d’Hildegarde de Bingen.
Abbesse du monastère bénédictin de Disibodenberg
Devenue magistra (prieure) de la communauté, Hildegarde, à la mort de mère Judith (Jutta von Sponheim)
 en 1136, est élue abbesse de Disibodenberg, à l'âge de 38 ans. Elle gouverne dès lors la partie réservée aux moniales de ce monastère double.
Cette particularité de l'abbaye de Disibodenberg, soumise à la double autorité de l'abbé et de l'abbesse, compliquera plus tard le transfert des moniales, rendu nécessaire par l'afflux des vocations, dans un autre lieu, Rupertsberg, au confluent du Rhin et de la Nahe, près du petit port de Bingen4.
Fondation et voyages
C'est entre 1147 et 1150 que Hildegarde fonde l'abbaye de Rupertsberg : le monastère devient
 célèbre  pour la qualité de sa gestion et l’harmonie qui y règne, et Guibert de Gembloux, dernier secrétaire d’Hildegarde, ne tarit pas d’éloges sur l’incontestable réussite de ce monastère modèle. En 1165,
 elle fonde l'abbaye d'Eibingen, extension du précédent monastère, sur la rive droite du Rhin, où s’installent environ trente sœurs. Abbesse des bords du Rhin, elle parcourt les routes de l’Ouest de l’Allemagne, voyageant non de son propre chef, mais poussée par les injonctions de Dieu au cours de ses visions.
 Elle entreprend ainsi quatre séries de voyages qui la mènent d’abord sur le Main, en 1158-1159, à l’âge
 de soixante ans, puis en Lorraine l’année suivante, avant de traverser la Rhénanie de 1161 à 1163 ;
 à soixante-douze ans enfin, elle repart une dernière fois visiter les villes et les cloîtres de Souabe.
 Plusieurs grandes cités, Cologne, Trèves, Metz, Mayence, Wurtzbourg et Bamberg reçurent ainsi sa visite ; elle se rend également dans de nombreux monastères et abbayes comme celle de Graufthal. Elle y tient en public des discours de prophétesse reconnue tant par la hiérarchie ecclésiastique que par les foules 
urbaines ; la prophétie est chez elle inséparable de la vision, la voix et la lumière divines lui parvenant simultanément. Elle s'emploie à rappeler les voies de Dieu et à lutter contre le catharisme par des prédications au clergé et au peuple. Dans la lutte contre les désordres, les injustices et les crimes, le combat, à ses yeux, nécessitait un engagement actif. Quelques-uns de ses sermons ont été conservés sous forme de lettres. Ces voyages témoignent de son succès, en même temps qu’ils contribuèrent à le forger.
Visions consignées dans le Scivias
« Déjà au cours des années où elle était magistra du monastère Saint-Disibod, Hildegarde avait commencé
 à dicter ses visions mystiques, qu’elle avait depuis un certain temps, à son conseiller spirituel, le moine Volmar, et à sa secrétaire, une consœur à laquelle elle était très attachée Richardis de Strade. 
Comme cela est toujours le cas dans la vie des véritables mystiques, Hildegarde voulut se soumettre aussi à l’autorité de personnes sages pour discerner l’origine de ses visions, craignant qu’elles soient le fruit d’illusions et qu’elles ne viennent pas de Dieu. C'est pourquoi elle s'adressa à la personne qui, à l’époque, bénéficiait de la plus haute estime dans l’Église : Bernard de Clairvaux. »
Par la suite, elle consignera les visions qu'elle a depuis l'enfance, dans le Scivias 
(du latin : sci vias Dei, « Connais les voies du Seigneur »).
L'approbation du pape Eugène III lors d'un synode réuni à Trèves fin 1147 – début 1148, encouragea Hildegarde à poursuivre son activité littéraire. Elle achève le Scivias, composé en 1151. Puis elle écrit le Liber vitae meritorum entre 1158 et 1163 et le Liber divinorum operum entre 1163 et 1174.
Pensée et travaux
La plupart de ses écrits sont réunis dans un grand livre (le Riesencodex) conservé à la bibliothèque 
régionale de Hesse à Wiesbaden en Allemagne. Bernard de Clairvaux lui-même lui a assuré que 
se s visions étaient des grâces du ciel.
Selon Jean-Noël Vuarnet, « En dictant, Hildegarde, comme toutes ses futures émules, croit et veut « dépasser la condition d’Ève ». Mystique militante et presque féministe, Hildegarde, visionnaire et poète, veut voir et faire voir autant et plus que faire croire ».
Mystique
Liber divinorum operum simplicis hominis
Liber divinorum operum ou Livre des œuvres divines est un mélange de théologie et de philosophie
 naturelle, où elle expose ses idées en visions cosmiques. L'organisation de l'univers et la nature de l'Homme ont pour origine commune la création divine. Les deux ne peuvent être séparés : de grandeur différente, ils ont été construits selon les mêmes proportions. Un principe d'analogie universelle fait de l'Homme un petit monde dans le grand (microcosme dans le macrocosme). L'Homme est le miroir du monde qu'il reflète par l'organisation de son corps. Dans un de ses manuscrits, conservé à Lucques, on trouve une miniature représentant un homme aux bras étendus dans un cercle, recevant toutes les influences cosmiques, 
dont le dessin sera modernisé par Léonard de Vinci dans l'Homme de Vitruve.
Elle se livre à une sorte d’ekphrasis mentale. Dans cette ekphrasis, elle écrit ses visions telles 
qu’elles lui apparaissent, en donnant sa voix à celle de Dieu qui parle par elle :
« Tout ce que j’ai écrit en effet lors de mes premières visions, tout le savoir que j’ai acquis par la suite, c’est aux mystères des cieux que je le dois. Je l’ai perçu en pleine conscience, dans un parfait éveil de mon corps. Ma vision, ce sont les yeux intérieurs de mon esprit, et les oreilles intérieures qui me l’ont transmise […] Exclusivement, j’exposais ce que m’offraient les secrets du ciel. C’est alors que je réentendis la voix, qui, du ciel, m’instruisait. Et elle disait : Écris ce que je te dis ! »
Dans ses dix visions du Liber divinorum operum simplicis hominis, Hildegarde dicte à Volmar (en) ce qu’elle entend et voit. Un dialogue se crée entre voir et voix, et s’offrent à elle les Œuvres Divines du Ciel :
« Je contemplai alors dans le secret de Dieu, au cœur des espaces aériens du midi, une merveilleuse figure. Elle avait apparence humaine. La beauté, la clarté de son visage étaient telles que regarder le soleil eût été plus facile que regarder ce visage. Un large cercle d’or ceignait la tête. Dans ce cercle, un deuxième visage, celui d’un vieillard, dominait le premier visage ; son menton, sa barbe frôlaient le sommet du crâne. De chaque côté du cou de la première figure se détachait une aile… »
La première vision d’Hildegarde, dans le Livre des œuvres divines, est celle de la Trinité, à l’origine de l’univers et de l’homme. L’homme, à l’image du cosmos, est une œuvre divine.
La troisième vision d'Hildegarde met en œuvre l'univers où il y a sept planètes qui rayonnent sur l'homme et sur les têtes des animaux. Le vent du midi, le vent d'ouest, le vent du nord et le vent du sud « maintiennent l'énergie de l'univers tout entier et de l'homme, qui recèlent la totalité de la créature ». 
Chacun des vents amène du bienfait ou des catastrophes tels que des inondations, des canicules, du tonnerre, de la grêle, du froid et des éclairs. L'homme les reçoit et s'unit avec eux. La pensée, la parole, l'intention et la vie affective, les quatre énergies de l'homme, ressemblent aux quatre vents selon Hildegarde. Le vent du midi apporte de bonnes choses pour l'esprit alors que le vent d'ouest lui apporte de mauvaises choses. Le vent du nord est inutile puisqu'il amène à l'humain les pensées du bien et du mal.
Médecine et étude des plantes
Hildegarde de Bingen est considérée comme la première naturaliste d'Allemagne
Son double don de voyance et de guérisseuse en fait l’un des médecins les plus renommés de son temps.
 Sa médecine combine des éléments savants de grands auteurs, et des ressources locales
 de médecine populaire.
Physica
Ou De la nature, est une description peu ordonnée de plantes et d'animaux. Elle décrit près de 300 plantes, 
la plupart selon une observation personnelle, 61 sortes d'oiseaux et autres animaux volants (chauve-souris, insectes…), et 41 sortes de mammifères. Les exposés visent un but thérapeutique, et Hildegarde indique les remèdes qui peuvent être obtenus à partir de chaque plante ou organe animal. Ce texte appartient plus à l'histoire de la médecine populaire qu'à l'histoire des sciences naturelles.
Hildegarde de Bingen utilise ainsi tout ce que la nature pouvait lui offrir en matière de traitements : les simples, mais aussi les minéraux. Ainsi, par exemple, elle écrit dans le langage imagé de son époque que :
Gouttes de rosée sur un brin d'herbe. L'émeraude contient selon elle la même vertu, 
celle qui réveille la nature tous les matins.
« l'émeraude pousse tôt le matin, au lever du soleil, lorsque ce dernier devient puissant et amorce sa trajectoire dans le ciel. À cette heure, l'herbe est particulièrement verte et fraîche sur la terre, car l'air est encore frais et le soleil déjà chaud. Alors, les plantes aspirent si fortement la fraîcheur en elles comme un agneau le lait, en sorte que la chaleur du jour suffit à peine pour réchauffer et nourrir cette fraîcheur, pour qu'elle soit fécondatrice et puisse porter des fruits. C'est pourquoi l'émeraude est un remède efficace contre toutes les infirmités et maladies humaines, car elle est née du soleil et sa matière jaillit de la fraîcheur de l'air. Celui qui a des douleurs au cœur, dans l'estomac ou un point de côté doit porter une émeraude pour réchauffer son corps, et il s'en portera mieux. Mais si ses souffrances empirent tellement qu'il ne puisse plus s'en défendre, alors il faut qu'il prenne immédiatement l'émeraude dans la bouche, pour l'humidifier avec sa salive. La salive réchauffée par cette pierre doit être alternativement avalée et recrachée, et ce faisant, la personne doit contracter et dilater son corps. Les accès subits de la maladie vont certainement faiblir… »
Elle attribue ainsi des vertus protectrices, curatives, prédictives, purificatrices aux minéraux, suivant en cela des pratiques antiques, fondées sur un symbolisme magique et religieux. Dans la mentalité médiévale, 
le divin et le magique ne s'excluent pas. « Il n'y a pas de jugement de valeur ni de classement hiérarchique : toutes les vertus sont présentées sur un axe horizontal qui vise à accumuler le savoir, et non à le trier ou à le jauger ». Cette mentalité se retrouve dans les encyclopédies médiévales, dans les lapidaires (ouvrages sur les pierres précieuses, comme le De lapidibus ou Lapidarius de Marbode) et aussi les
 bestiaires comme le Physiologus. 
Physica liste également un certains nombres de plantes et l'aliments à consommer ou en remèdes. 
C'est notamment dans cet ouvrage que l'on trouve la célèbre référence à l'épeautre et la recette 
de l'électuaire de poires.
Causae et curae
Les causes et les remèdes débutent par un exposé sur la théorie des humeurs. Hildegarde se serait
 inspirée de Constantin l'Africain, et à travers lui, des médecins antiques comme Hippocrate, Galien ou Dioscoride, ainsi que des médecins arabes.
Elle reprend la théorie des quatre humeurs, non pas comme des liquides organiques, mais comme 
des ensembles de tendances, de prédispositions et de réactions morbides, sur un double plan physique et spirituel. Elle applique cette théorie à la création de l'homme par Dieu, à partir de l'eau et de la terre.
 Le créateur aurait d'abord créé la forme extérieure de l'homme, puis a comblé le vide par des organes. Hildegarde reprend l'idée d'Aristote selon laquelle le cœur est le siège de l'âme et du principe de connaissance. Elle s'intéresse ainsi à la mélancolie, qu'elle voit dans l'histoire de l'Homme comme une conséquence du péché originel chrétien : « Au moment où Adam a désobéi à l'ordre divin, à cet instant même, la mélancolie s'est coagulée dans son sang ».
Le corps est la demeure de l'âme avec une porte, des fenêtres et une cheminée. L'âme fait entrer et sortir les pensées comme par la porte (le cœur), le cerveau est la cheminée de l'âme qui discerne et évacue les mauvaises pensées. Les fenêtres apportent la lumière, « les yeux sont les fenêtres de l'âme.
 On peut voir l'âme d'un homme dans ses yeux ».
L'ouvrage contient des indications médicales à base de symbolisme et de superstition, mais aussi
 quelques affirmations intuitives qui se révèleront vraies plus tard, comme le fait que la Terre tourne autour
 du Soleil, placé au centre du monde, que les étoiles fixes sont en mouvement, que le sang circule dans le corps. Ou encore ce conseil préventif, dans Causæ et Curæ sur les maux de dents :
« Celui qui veut avoir des dents fermes et saines doit, le matin, lorsqu'il se lève, mettre de l'eau pure et froide dans sa bouche et la garder un petit moment [une petite heure], dans sa bouche pour ramollir la malignité qui se trouve entre ses dents ; ainsi, l'eau qu'il a dans sa bouche lave ses dents et, s'il le fait souvent, la malignité ne croîtra plus autour de ses dents, qui resteront saines »
Hildegarde amène une importance sur l'alimentation cuite pour prévoir et combattre la maladie.
 Elle recommande principalement les céréales, les fruits et les légumes tels que l'épeautre, la pomme, la châtaigne et le fenouil. Selon elle, l'épeautre est la meilleure céréale parce qu'il produit des effets positifs sur le corps après en avoir consommé. Il est très nourrissant et facile à digérer. Il aide le corps à être musclé et énergétique et le sang à mieux circuler. L'épeautre évoqué par Hildegarde de Bingen est le grand épeautre non hybridé. L'épeautre nécessite une petite préparation en amont avant la cuisson. La pomme est utile pour toute personne qui en mange. La châtaigne est un fruit qui doit être mangé souvent puisqu'il combat la faiblesse dans l'homme. Le fenouil est bon pour la digestion ainsi que l'apparence et l'odorat corporel. 
De nombreuses recettes de cuisine ont été élaborées à partir de ses recommandations,
 notamment les biscuits de la joie.
La médecine populaire allemande tient aussi une large place. 
Hildegarde fusionne des éléments multiples et variés : médecine savante et populaire, Ancien Testament et Foi chrétienne, philosophie antique et début de la scolastique. Le savoir encyclopédique d'Hildegarde serait lié à sa jeunesse recluse mais aussi à sa situation géographique, aux liaisons fluviales d'une région rhénane, communiquant aussi bien avec la mer Noire (Danube) qu'avec la Méditerranée (Rhin, Saône, Rhône), 
lui donnant accès à de nombreuses sources.
Musique
 
Hildegarde a composé plus de soixante-dix chants liturgiques, hymnes et séquences, dont certains 
ont fait l'objet d'enregistrements récents par des ensembles de musique médiévale notamment l'ensemble Sequentia : Ave generosa, Columba aspexit, O presul vere civitatis… Ce dernier est un hommage à Disibod, moine irlandais du VIIe siècle fondateur du monastère double de Disibodenberg, dont Hildegarde fut la biographe. L'ensemble des chants forme la collection Symphonia harmoniae celestium revelationum (Symphonie de l'harmonie des révélations célestes), qu'elle mit en musique. Ces chants sont contenus dans le Codex Villarensis conservé dans la bibliothèque de l'abbaye de Termonde. Mais en août 2017, l'abbaye a confié le manuscrit à la bibliothèque de la Faculté de théologie de la KU Leuven pour sa conservation.
 
Elle a aussi composé un drame liturgique intitulé Ordo virtutum (« Le jeu des vertus »), qui comporte quatre-vingt-deux mélodies et met en scène les tiraillements de l'âme entre le démon et les vertus.
Linguistique
Hildegarde est aussi connue dans le domaine linguistique car elle élabora, sur des principes mystiques voire apophatiques, une langue artificielle ou langue construite écrite et parlée par elle seule, la Lingua Ignota.
Elle meurt le 17 septembre 1179 atteignant tout juste 81 ans. 
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HILDEGARDE DE BINGEN
1098-1179
Sophie MACHETEAU
Avec l'aide de Claire Desvaux,  naturopathe et esthéticienne Secrets et remèdes  d'Hildegarde de Bingen Paris, Editions Rustica, 2016  Fort et Grand In-8, (27,5x20 cm), 190 pages,  reliure cartonnée éditeur illustrée, sous chemise cartonnée illustrée se fermant par un lacet de cuir Exemplaire bien complet de la pochette contrecollée au premier contre-plat, contenant 4 grandes planches dépliantes  (Le potager et le verger, Les épices, Le Jardin médicinal, Les pierres d'Hildegarde)  Hildegarde de Bingen, religieuse bénédictine du XIIe siècle, est considérée aujourd'hui comme la première naturopathe et phytothérapeute. Découvrez tous les secrets de la sainte pour apprendre à se soigner au quotidien et vivre dans l'harmonie, la sérénité et la joie. Sommaire: Une vie inspirée - L'approche Holistique d'Hildegarde, naturopathe bien avant l'Heure - La diététique Hildegardienne - Les préparations à base de plantes d'Hildegarde - Hildegarde au coeur des pierres - A chaque mal son remède Hildegardien - La musique céleste d'Hildegarde -  Annexes   Nombreuses illustrations dans le texte reproduisant  des enluminures et miniatures médiévales    Bel exemplaire, en très bon état général, propre et frais, infimes marques ou frottements habituels divers sur le cartonnage  Glossaire des termes Hildegardiens, petite biliographie et bonnes adresses,  Tables des recettes et remèdes, conseils divers et Index en fin de volume   cf. visuels... Epuisé depuis longtemps chez l'éditeur sous cette présentation   
  • Auteur: HILDEGARDE DE BINGEN - Sophie MACHETEAU
  • Caractéristiques spéciales: Édition originale
  • Type: 2016
  • Reliure: Relié
  • Langue: Français
  • Nom: SECRETS ET REMEDES D'HILDEGARDE DE BINGEN
  • Sujet: NATUROPATHIE PHYTOTHERAPIE SPIRITUALITE MOYEN AGE

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